DIMANCHE 14 AVRIL 2019
« Il envoya sa parole et les guérit, il les fit échapper de la fosse. »
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1. Il n'y a donc maintenant aucune condamnation pour ceux qui sont en Jésus Christ.
2. En effet, la loi de l'esprit de vie en Jésus Christ m'a affranchi de la loi du péché et de la mort.
3. Car-chose impossible à la loi, parce que la chair la rendait sans force, -Dieu a condamné le péché dans la chair, en envoyant, à cause du péché, son propre Fils dans une chair semblable à celle du péché,
4. Et cela afin que la justice de la loi fût accomplie en nous, qui marchons, non selon la chair, mais selon l'esprit.
5. Ceux, en effet, qui vivent selon la chair, s'affectionnent aux choses de la chair, tandis que ceux qui vivent selon l'esprit s'affectionnent aux choses de l'esprit.
6. Et l'affection de la chair, c'est la mort, tandis que l'affection de l'esprit, c'est la vie et la paix ;
7. Car l'affection de la chair est inimitié contre Dieu, parce qu'elle ne se soumet pas à la loi de Dieu, et qu'elle ne le peut même pas.
8. Or ceux qui vivent selon la chair ne sauraient plaire à Dieu.
9. Pour vous, vous ne vivez pas selon la chair, mais selon l'esprit, si du moins l'Esprit de Dieu habite en vous.
La Leçon Sermon
1 Au commencement, Dieu créa les cieux et la terre.
31 Dieu vit tout ce qu'il avait fait et voici, cela était très bon.
6 Mais une vapeur s'éleva de la terre, et arrosa toute la surface du sol.
9 L'Éternel Dieu fit pousser du sol des arbres de toute espèce, agréables à voir et bons à manger, et l'arbre de la vie au milieu du jardin, et l'arbre de la connaissance du bien et du mal.
15 L'Éternel Dieu prit l'homme, et le plaça dans le jardin d'Éden pour le cultiver et pour le garder.
16 L'Éternel Dieu donna cet ordre à l'homme : Tu pourras manger de tous les arbres du jardin ;
17 Mais tu ne mangeras pas de l'arbre de la connaissance du bien et du mal, car le jour où tu en mangeras, tu mourras.
1 Le serpent était le plus rusé de tous les animaux des champs, que l'Éternel Dieu avait faits. Il dit à la femme : Dieu a-t-il réellement dit : Vous ne mangerez pas de tous les arbres du jardin ?
2 La femme répondit au serpent : Nous mangeons du fruit des arbres du jardin.
3 Mais quant au fruit de l'arbre qui est au milieu du jardin, Dieu a dit : Vous n'en mangerez point et vous n'y toucherez point, de peur que vous ne mouriez.
4 Alors le serpent dit à la femme : Vous ne mourrez point ;
5 Mais Dieu sait que, le jour où vous en mangerez, vos yeux s'ouvriront, et que vous serez comme des dieux, connaissant le bien et le mal.
6 La femme vit que l'arbre était bon à manger et agréable à la vue, et qu'il était précieux pour ouvrir l'intelligence ; elle prit de son fruit, et en mangea ; elle en donna aussi à son mari, qui était auprès d'elle, et il en mangea.
13 Et l'Éternel Dieu dit à la femme : Pourquoi as-tu fait cela ? La femme répondit : Le serpent m'a séduite, et j'en ai mangé.
17 Il dit à l'homme : Puisque tu as écouté la voix de ta femme, et que tu as mangé de l'arbre au sujet duquel je t'avais donné cet ordre : Tu n'en mangeras point ! le sol sera maudit à cause de toi. C'est à force de peine que tu en tireras ta nourriture tous les jours de ta vie,
27 Jésus s'en alla,
14 Lorsqu'ils furent arrivés près des disciples, ils virent autour d'eux une grande foule, et des scribes qui discutaient avec eux.
15 Dès que la foule vit Jésus, elle fut surprise, et accourut pour le saluer.
16 Il leur demanda : Sur quoi discutez-vous avec eux ?
17 Et un homme de la foule lui répondit : Maître, j'ai amené auprès de toi mon fils, qui est possédé d'un esprit muet.
18 En quelque lieu qu'il le saisisse, il le jette par terre ; l'enfant écume, grince des dents, et devient tout raide. J'ai prié tes disciples de chasser l'esprit, et ils n'ont pas pu.
19 Race incrédule, leur dit Jésus, jusques à quand serai-je avec vous ? jusques à quand vous supporterai-je ? Amenez-le-moi. On le lui amena.
20 Et aussitôt que l'enfant vit Jésus, l'esprit l'agita avec violence ; il tomba par terre, et se roulait en écumant.
21 Jésus demanda au père : Combien y a-t-il de temps que cela lui arrive ? Depuis son enfance, répondit-il.
22 Et souvent l'esprit l'a jeté dans le feu et dans l'eau pour le faire périr. Mais, si tu peux quelque chose, viens à notre secours, aie compassion de nous.
23 Jésus lui dit : Si tu peux !... Tout est possible à celui qui croit.
24 Aussitôt le père de l'enfant s'écria : Je crois ! viens au secours de mon incrédulité !
25 Jésus, voyant accourir la foule, menaça l'esprit impur, et lui dit : Esprit muet et sourd, je te l'ordonne, sors de cet enfant, et n'y rentre plus.
26 Et il sortit, en poussant des cris, et en l'agitant avec une grande violence. L'enfant devint comme mort, de sorte que plusieurs disaient qu'il était mort.
27 Mais Jésus, l'ayant pris par la main, le fit lever. Et il se tint debout.
28 Quand Jésus fut entré dans la maison, ses disciples lui demandèrent en particulier : Pourquoi n'avons-nous pu chasser cet esprit ?
29 Il leur dit : Cette espèce-là ne peut sortir que par la prière.
10 Les paroles que je vous dis, je ne les dis pas de moi-même ; et le Père qui demeure en moi, c'est lui qui fait les œuvres.
11 Croyez-moi, je suis dans le Père, et le Père est en moi ; croyez du moins à cause de ces œuvres.
12 En vérité, en vérité, je vous le dis, celui qui croit en moi fera aussi les œuvres que je fais, et il en fera de plus grandes, parce que je m'en vais au Père ;
11 Je vous ai dit ces choses, afin que ma joie soit en vous, et que votre joie soit parfaite.
Dieu dit que tout ce qu’il avait créé était bon, et les Écritures déclarent qu’Il créa tout.
Rien n’est réel et éternel — rien n’est Esprit — hormis Dieu et Son idée. Le mal n’a pas de réalité. Ce n’est ni une personne, ni un lieu, ni une chose, mais simplement une croyance, une illusion du sens matériel.
Il n’y a pas de pouvoir en dehors de Dieu. L’omnipotence a tout pouvoir, et reconnaître quelque autre pouvoir c’est déshonorer Dieu. L’humble Nazaréen annula la supposition que le péché, la maladie et la mort ont du pouvoir. Il prouva qu’ils sont impuissants.
« L’arbre de la vie » est le symbole de la réalité éternelle, de l’être éternel. « L’arbre de la connaissance » symbolise l’irréalité. Le témoignage du serpent symbolise l’illusion de l’erreur, les fausses prétentions qui donnent une idée erronée de Dieu, le bien. Il n’est pas question de péché, de maladie ni de mort dans l’introduction élohiste de la Genèse, dans laquelle Dieu crée les cieux, la terre et l’homme. Le mal n’a pas d’histoire jusqu’au moment où ce qui contredit la vérité de l’être entre dans l’arène, et il apparaît seulement comme l’irréel en opposition avec ce qui est réel et éternel.
Cette fausse prétention — cette antique croyance, ce serpent ancien appelé le diable (le mal), qui prétend que la matière est intelligente, soit pour faire du bien aux hommes, soit pour leur nuire
— est une pure tromperie, le dragon rouge ; elle est chassée par le Christ, la Vérité, l’idée spirituelle, et son impuissance est ainsi prouvée.
La notion que l’entendement et la matière se confondent dans l’illusion humaine au sujet du péché, de la maladie et de la mort, devra finalement se soumettre à la Science de l’Entendement, qui nie cette notion. Dieu est Entendement, et Dieu est infini ; donc tout est Entendement. Sur cette déclaration repose la Science de l’être, et le Principe de cette Science est divin, démontrant l’harmonie et l’immortalité.
Tout prétendu renseignement venant du corps ou de la matière inerte, comme si l’un ou l’autre était intelligent, est une illusion de l’entendement mortel — un de ses rêves. Comprenez que le témoignage des sens ne doit pas plus être accepté dans un cas de maladie que dans un cas de péché.
Exposez le corps à certaines températures, et la croyance dira que vous pouvez prendre froid et avoir un rhume ; mais un tel résultat ne serait pas possible sans qu’il y ait un entendement pour l’exiger et le produire. Tant que les mortels déclareront que certains états de l’atmosphère provoquent les rhumes, la fièvre, les rhumatismes ou la tuberculose, ces effets se produiront, non à cause du climat, mais en raison de la croyance. En trop de circonstances l’auteur a guéri la maladie, grâce à l’action de la Vérité sur l’entendement des mortels et aux effets correspondants de la Vérité sur le corps, pour ne pas savoir qu’il en est ainsi.
Si la maladie est réelle, elle appartient à l’immortalité ; si elle est vraie, elle fait partie de la Vérité. Tenteriez-vous, avec ou sans médicaments, de détruire une qualité ou une condition de la Vérité ? Mais si la maladie et le péché sont des illusions, à notre réveil de ce songe mortel, ou illusion, nous nous trouverons dans la santé, la sainteté et l’immortalité. Ce réveil est la venue éternelle du Christ, c’est le précurseur de la Vérité qui chasse l’erreur et guérit les malades.
C’est là le salut qui vient par Dieu, le Principe divin, l’Amour, ainsi que le démontra Jésus.
La mort n’est qu’une autre phase du rêve selon lequel l’existence serait matérielle.
Le rêve de la mort doit être vaincu par l’Entendement ici-bas ou dans l’au-delà. La pensée se réveillera de sa propre déclaration matérielle : « Je suis mort », pour saisir cette parole claironnante de la Vérité : « Il n’y a pas de mort, pas d’inaction, d’action morbide, d’action excessive ni de réaction. »
La Vie est réelle, et la mort est l’illusion.
Le privilège de l’homme en ce moment suprême est de prouver ces paroles de notre Maître : « Si quelqu’un garde ma parole, il ne verra jamais la mort. » Dépouiller la pensée des faux appuis et des manifestations matérielles afin que les faits spirituels de l’être apparaissent, telle est la grande réalisation grâce à laquelle nous ferons disparaître le faux pour faire place au vrai. C’est ainsi que nous pourrons établir en vérité le temple, le corps, « dont Dieu est l’architecte et le constructeur ».
Lorsque Dieu guérit les malades ou les pécheurs, ceux-ci devraient être instruits du grand bienfait qui est l’œuvre de l’Entendement. Ils devraient également être instruits de la grande duperie de l’entendement mortel lorsqu’il les rend malades ou pécheurs.
L’Amour accomplit la loi de la Science Chrétienne, et rien d’autre que ce Principe divin, compris et démontré, ne pourra jamais produire la vision de l’Apocalypse, ouvrir les sept sceaux de l’erreur avec la Vérité, ni dévoiler les innombrables illusions du péché, de la maladie et de la mort.
Il n’y a qu’un chemin qui mène au ciel, à l’harmonie, et en Science divine le Christ nous montre ce chemin. Ce chemin consiste à ne connaître aucune autre réalité — à n’avoir aucune autre conscience de vie — que le bien, Dieu et Son reflet, et à nous élever au-dessus des prétendus douleurs et plaisirs des sens.
L’amour de soi est plus opaque qu’un corps solide. En obéissant patiemment à un Dieu patient, travaillons à dissoudre avec le dissolvant universel de l’Amour l’erreur adamantine — la volonté personnelle, la propre justification et l’amour de soi — qui fait la guerre à la spiritualité et qui est la loi du péché et de la mort.
La Science Chrétienne lève l’étendard de la liberté et crie : « Suivez-moi ! Échappez à l’esclavage de la maladie, du péché et de la mort ! » Jésus traça le chemin. Citoyens du monde, acceptez la « liberté glorieuse des enfants de Dieu », et soyez libres ! Tel est votre droit divin. C’est l’illusion du sens matériel, non la loi divine, qui vous a liés, qui a entravé la liberté de vos membres, paralysé vos facultés, affaibli votre corps et défiguré la table de votre être.
Ne souffrez pas que les prétentions du péché ou de la maladie se développent dans votre pensée. Chassez-les avec la ferme conviction qu’elles sont illégitimes parce que vous savez que Dieu n’est pas plus l’auteur de la maladie que du péché. Il n’a promulgué aucune loi qui rende nécessaire, soit le péché, soit la maladie, mais vous êtes divinement autorisé à nier cette nécessité et à guérir les malades.
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de Mary Baker Eddy
Il sera du devoir de tout membre de cette Église de prier chaque jour : « Que Ton règne vienne » ; que le règne de la Vérité, de la Vie et de l’Amour divins soit établi en moi, et élimine de moi tout péché ; et puisse Ta Parole enrichir les affections de toute l’humanité et la gouverner !q
Manuel de l’Église, Article VIII, Sect. 4
Ni l’animosité, ni un attachement purement personnel ne doivent déterminer les mobiles ou les actes des membres de l’Église Mère. Dans la Science, l’Amour divin seul gouverne l’homme ; et un Scientiste Chrétien reflète les douces aménités de l’Amour, en réprouvant le péché, et en manifestant un véritable esprit de fraternité, de charité et de pardon. Les membres de cette Église doivent journellement veiller et prier pour être délivrés de tout mal, pour ne pas prophétiser, juger, condamner, conseiller, influencer ou être influencés d’une manière erronée.
Manuel de l’Église, Article VIII, Sect. 1
Il sera du devoir de chaque membre de cette Église de se défendre journellement contre la suggestion mentale agressive, et de ne pas se laisser entraîner à oublier ou à négliger son devoir envers Dieu, envers son Leader et envers l’humanité. Par ses œuvres, il sera jugé — et justifié ou condamné.
Manuel de l’Église, Article VIII, Sect. 6
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