Dimanche 17 Mars 2019
« L'Éternel aussi accordera le bonheur, et notre terre donnera ses fruits. »
PDF Downloads:
Click here to play the lesson audio as you read:
Also available on YouTube or SoundCloud
████████████████████████████████████████████████████████████████████████
1. La sagesse ne crie-t-elle pas ? L'intelligence n'élève-t-elle pas sa voix ?
10. Préférez mes instructions à l'argent, et la science à l'or le plus précieux ;
11. Car la sagesse vaut mieux que les perles, elle a plus de valeur que tous les objets de prix.
18. Avec moi sont la richesse et la gloire, les biens durables et la justice.
19. Mon fruit est meilleur que l'or, que l'or pur, et mon produit est préférable à l'argent.
20. Je marche dans le chemin de la justice, au milieu des sentiers de la droiture,
21. Pour donner des biens à ceux qui m'aiment, et pour remplir leurs trésors.
La Leçon Sermon
9 Honore l'Éternel avec tes biens, et avec les prémices de tout ton revenu:
10 Alors tes greniers seront remplis d'abondance, et tes cuves regorgeront de moût.
1 Élie, le Thischbite, l'un des habitants de Galaad, dit à Achab : L'Éternel est vivant, le Dieu d'Israël, dont je suis le serviteur ! il n'y aura ces années-ci ni rosée ni pluie, sinon à ma parole.
8 Alors la parole de l'Éternel lui fut adressée en ces mots :
9 Lève-toi, va à Sarepta, qui appartient à Sidon, et demeure là. Voici, j'y ai ordonné à une femme veuve de te nourrir.
10 Il se leva, et il alla à Sarepta. Comme il arrivait à l'entrée de la ville, voici, il y avait là une femme veuve qui ramassait du bois. Il l'appela, et dit : Va me chercher, je te prie, un peu d'eau dans un vase, afin que je boive.
11 Et elle alla en chercher. Il l'appela de nouveau, et dit : Apporte-moi, je te prie, un morceau de pain dans ta main.
12 Et elle répondit : L'Éternel, ton Dieu, est vivant ! je n'ai rien de cuit, je n'ai qu'une poignée de farine dans un pot et un peu d'huile dans une cruche. Et voici, je ramasse deux morceaux de bois, puis je rentrerai et je préparerai cela pour moi et pour mon fils ; nous mangerons, après quoi nous mourrons.
13 Élie lui dit : Ne crains point, rentre, fais comme tu as dit. Seulement, prépare-moi d'abord avec cela un petit gâteau, et tu me l'apporteras ; tu en feras ensuite pour toi et pour ton fils.
14 Car ainsi parle l'Éternel, le Dieu d'Israël: La farine qui est dans le pot ne manquera point et l'huile qui est dans la cruche ne diminuera point, jusqu'au jour où l'Éternel fera tomber de la pluie sur la face du sol.
15 Elle alla, et elle fit selon la parole d'Élie. Et pendant longtemps elle eut de quoi manger, elle et sa famille, aussi bien qu'Élie.
16 La farine qui était dans le pot ne manqua point, et l'huile qui était dans la cruche ne diminua point, selon la parole que l'Éternel avait prononcée par Élie.
1 Naaman, chef de l'armée du roi de Syrie, jouissait de la faveur de son maître et d'une grande considération ; car c'était par lui que l'Éternel avait délivré les Syriens. Mais cet homme fort et vaillant était lépreux.
10 Élisée lui fit dire par un messager : Va, et lave-toi sept fois dans le Jourdain ; ta chair deviendra saine, et tu seras pur.
14 Il descendit alors et se plongea sept fois dans le Jourdain, selon la parole de l'homme de Dieu; et sa chair redevint comme la chair d'un jeune enfant, et il fut pur.
15 Naaman retourna vers l'homme de Dieu, avec toute sa suite. Lorsqu'il fut arrivé, il se présenta devant lui, et dit : Voici, je reconnais qu'il n'y a point de Dieu sur toute la terre, si ce n'est en Israël. Et maintenant, accepte, je te prie, un présent de la part de ton serviteur.
16 Élisée répondit : L'Éternel, dont je suis le serviteur, est vivant ! je n'accepterai pas. Naaman le pressa d'accepter, mais il refusa.
20 Guéhazi, serviteur d'Élisée, homme de Dieu, se dit en lui-même : Voici, mon maître a ménagé Naaman, ce Syrien, en n'acceptant pas de sa main ce qu'il avait apporté ; l'Éternel est vivant ! je vais courir après lui, et j'en obtiendrai quelque chose.
21 Et Guéhazi courut après Naaman.
22 Mon maître m'envoie te dire : Voici, il vient d'arriver chez moi deux jeunes gens de la montagne d'Éphraïm, d'entre les fils des prophètes ; donne pour eux, je te prie, un talent d'argent et deux vêtements de rechange.
23 Naaman dit : Consens à prendre deux talents. Il le pressa, et il serra deux talents d'argent dans deux sacs, donna deux habits de rechange,
25 Puis il alla se présenter à son maître. Élisée lui dit : D'où viens-tu, Guéhazi ? Il répondit : Ton serviteur n'est allé ni d'un côté ni d'un autre.
26 Mais Élisée lui dit : Mon esprit n'était pas absent, lorsque cet homme a quitté son char pour venir à ta rencontre. Est-ce le temps de prendre de l'argent et de prendre des vêtements, puis des oliviers, des vignes, des brebis, des bœufs, des serviteurs et des servantes ?
27 La lèpre de Naaman s'attachera à toi et à ta postérité pour toujours. Et Guéhazi sortit de la présence d'Élisée avec une lèpre comme la neige.
19 Ne vous amassez pas des trésors sur la terre, où la teigne et la rouille détruisent, et où les voleurs percent et dérobent ;
20 Mais amassez-vous des trésors dans le ciel, où la teigne et la rouille ne détruisent point, et où les voleurs ne percent ni ne dérobent.
21 Car là où est ton trésor, là aussi sera ton cœur.
25 C'est pourquoi je vous dis : Ne vous inquiétez pas pour votre vie de ce que vous mangerez, ni pour votre corps, de quoi vous serez vêtus.
32 Votre Père céleste sait que vous en avez besoin.
33 Cherchez premièrement le royaume et la justice de Dieu ; et toutes ces choses vous seront données par-dessus.
Question. — Qu’est-ce que la substance ?
Réponse. — La substance est ce qui est éternel et incapable de discordance et de décomposition.
La Vérité, la Vie et l’Amour sont substance, dans le sens où les Écritures emploient ce mot dans l’Épître aux Hébreux : « La substance des choses qu’on espère, l’évidence de celles qu’on ne voit pas »*. L’Esprit, le synonyme d’Entendement, d’Ame, ou de Dieu, est la seule substance véritable. L’univers spirituel, y compris l’homme individuel, est une idée composée, reflétant la substance divine de l’Esprit.
* Bible anglaise
Ce qu’on appelle matière est inconnu à l’Esprit, qui renferme en lui-même toute substance et qui est la Vie éternelle.
Tout ce que nous appelons péché, maladie et mort est une croyance mortelle. Nous définissons la matière comme erreur, parce qu’elle est l’opposé de la vie, de la substance et de l’intelligence. La matière, avec est sa mortalité, ne peut être substantielle si l’Esprit est substantiel et éternel.
Que devrions-nous accepter comme substance, ce qui se trompe, change et meurt, ce qui est muable et mortel, ou ce qui est infaillible, immuable et immortel ?
Les objets perçus par les sens physiques n’ont pas la réalité de la substance. Ils sont seulement ce que la croyance mortelle les appelle. La matière, le péché et la mortalité perdent toute conscience supposée ou toute prétention à la vie ou existence, à mesure que les mortels se dépouillent d’un faux sens de vie, de substance et d’intelligence. Mais l’homme spirituel et éternel n’est pas affecté par ces phases de la mortalité.
Combien il est vrai que tout ce qui s’apprend par l’intermédiaire du sens matériel se perd forcément parce que ce prétendu savoir est renversé par les faits spirituels de l’être dans la Science. On voit que ce que le sens matériel appelle intangible est substance. Ce qui, pour le sens matériel, semble être substance, devient néant, à mesure que le rêve du sens matériel s’évanouit et que la réalité paraît.
Grâce au christianisme les hommes se détournent naturellement de la matière vers l’Esprit, de même que la fleur se détourne de l’obscurité vers la lumière. Alors l’homme s’approprie ces choses que « l’œil n’a point vues, que l’oreille n’a point entendues ». Paul et Jean comprenaient clairement que, de même que l’homme mortel n’acquiert les honneurs terrestres que par le sacrifice, de même il doit acquérir les richesses célestes en renonçant à tout ce qui est du monde. Alors il n’aura rien de commun avec les affections, les motifs et les desseins de celui qui est attaché aux choses du monde.
La fausse évidence du sens matériel contraste de manière frappante avec le témoignage de l’Esprit. Le sens matériel élève la voix avec arrogance, comme s’il était réel, et dit :
Je manque absolument d’honnêteté et personne ne le sait. Je peux tricher, mentir, commettre l’adultère, voler, tuer, et j’évite d’être découvert grâce à la fourberie de mon langage mielleux. Ayant des tendances animales, des sentiments trompeurs, des intentions frauduleuses, je compte faire de la courte durée de ma vie un jour de fête.
L’Esprit, portant un témoignage contraire, dit :
Je suis Esprit. L’homme, dont les sens sont spirituels, est ma ressemblance. Il reflète l’intelligence infinie, car Je suis Infinité. La beauté de la sainteté, la perfection de l’être, la gloire impérissable, tout est à Moi, car Je suis Dieu. Je donne l’immortalité à l’homme, car Je suis Vérité. Je renferme et communique toute félicité, car Je suis Amour. Je donne la vie, sans commencement et sans fin, car Je suis Vie. Je suis suprême et donne tout, car Je suis Entendement. Je suis la substance de tout, parce que JE SUIS CELUI QUI DIT : JE SUIS.
Quel est celui qui, ayant connu les croyances périlleuses à la vie, à la substance et à l’intelligence séparées de Dieu, peut dire qu’il n’y a pas de croyance erronée ? Connaissant la prétention du magnétisme animal, savoir que tout le mal se résume en la croyance que la vie, la substance et l’intelligence sont dans la matière, l’électricité, la nature animale et la vie organique, qui niera que ce sont là les erreurs que la Vérité doit annihiler et qu’elle annihilera ? Les Scientistes Chrétiens doivent vivre sous la pression constante du commandement apostolique qui ordonne de sortir du monde matériel et de s’en séparer.
Supprimons les richesses, la renommée et les organisations sociales, qui ne pèsent pas un iota dans la balance de Dieu, et nous obtiendrons des vues plus claires du Principe. Dispersons les coteries ; que l’honnêteté nivelle la richesse, que le mérite soit l’humanité apprécié selon la sagesse, et nous obtiendrons des vues plus justes de l’humanité.
Pour déterminer nos progrès, il faut que nous sachions où sont placées nos affections, qui nous reconnaissons et à qui nous obéissons en tant que Dieu. Si l’Amour divin devient pour nous plus proche, plus cher et plus réel, alors la matière est en voie de se soumettre à l’Esprit. Les buts que nous poursuivons et l’esprit que nous manifestons révèlent notre point de vue et montrent ce que nous gagnons.
Les riches en esprit aident les pauvres, formant une grande fraternité, ayant tous le même Principe, ou Père ; et béni est celui qui voit le besoin de son frère et y pourvoit, trouvant son propre bien en cherchant celui d’autrui. L’Amour donne à la moindre idée spirituelle la force, l’immortalité et la bonté qui se révèlent à travers tout comme la fleur se révèle déjà dans le bouton.
Si le disciple avance spirituellement, il fait des efforts pour arriver. Il se détourne constamment du sens matériel et porte ses regards vers les choses impérissables de l’Esprit. S’il est sincère, il prendra la chose au sérieux dès le début et avancera chaque jour un peu dans la bonne direction, jus qu’à ce que finalement il achève sa course avec joie.
████████████████████████████████████████████████████████████████████████
de Mary Baker Eddy
Il sera du devoir de tout membre de cette Église de prier chaque jour : « Que Ton règne vienne » ; que le règne de la Vérité, de la Vie et de l’Amour divins soit établi en moi, et élimine de moi tout péché ; et puisse Ta Parole enrichir les affections de toute l’humanité et la gouverner !q
Manuel de l’Église, Article VIII, Sect. 4
Ni l’animosité, ni un attachement purement personnel ne doivent déterminer les mobiles ou les actes des membres de l’Église Mère. Dans la Science, l’Amour divin seul gouverne l’homme ; et un Scientiste Chrétien reflète les douces aménités de l’Amour, en réprouvant le péché, et en manifestant un véritable esprit de fraternité, de charité et de pardon. Les membres de cette Église doivent journellement veiller et prier pour être délivrés de tout mal, pour ne pas prophétiser, juger, condamner, conseiller, influencer ou être influencés d’une manière erronée.
Manuel de l’Église, Article VIII, Sect. 1
Il sera du devoir de chaque membre de cette Église de se défendre journellement contre la suggestion mentale agressive, et de ne pas se laisser entraîner à oublier ou à négliger son devoir envers Dieu, envers son Leader et envers l’humanité. Par ses œuvres, il sera jugé — et justifié ou condamné.
Manuel de l’Église, Article VIII, Sect. 6
████████████████████████████████████████████████████████████████████████