Dimanche 4 Novembre 2018
« Ce que je désire, est-ce que le méchant meure ? dit le Seigneur, l'Éternel. N'est-ce pas qu'il change de conduite et qu'il vive ? »
PDF Downloads:
████████████████████████████████████████████████████████████████████████
9. J'écouterai ce que dit Dieu, l'Éternel ; car il parle de paix à son peuple et à ses fidèles, pourvu qu'ils ne retombent pas dans la folie.
10. Oui, son salut est près de ceux qui le craignent, afin que la gloire habite dans notre pays.
11. La bonté et la fidélité se rencontrent, la justice et la paix s'embrassent ;
12. La fidélité germe de la terre, et la justice regarde du haut des cieux.
13. L'Éternel aussi accordera le bonheur, et notre terre donnera ses fruits.
14. La justice marchera devant lui, et imprimera ses pas sur le chemin.
La Leçon Sermon
17 … Jésus commença à prêcher, et à dire : Repentez-vous, car le royaume des cieux est proche.
31 Alors Jésus leur dit : Je serai pour vous tous, cette nuit, une occasion de chute ;
33 Pierre, prenant la parole, lui dit : Quand tu serais pour tous une occasion de chute, tu ne le seras jamais pour moi.
34 Jésus lui dit : Je te le dis en vérité, cette nuit même, avant que le coq chante, tu me renieras trois fois.
57 Ceux qui avaient saisi Jésus l'emmenèrent chez le souverain sacrificateur Caïphe, où les scribes et les anciens étaient assemblés.
58 Pierre le suivit de loin jusqu'à la cour du souverain sacrificateur, y entra, et s'assit avec les serviteurs, pour voir comment cela finirait.
69 Cependant, Pierre était assis dehors dans la cour. Une servante s'approcha de lui, et dit : Toi aussi, tu étais avec Jésus le Galiléen.
70 Mais il le nia devant tous, disant : Je ne sais ce que tu veux dire.
71 Comme il se dirigeait vers la porte, une autre servante le vit, et dit à ceux qui se trouvaient là ; Celui-ci était aussi avec Jésus de Nazareth.
72 Il le nia de nouveau, avec serment : Je ne connais pas cet homme.
73 Peu après, ceux qui étaient là, s'étant approchés, dirent à Pierre : Certainement tu es aussi de ces gens-là, car ton langage te fait reconnaître.
74 Alors il se mit à faire des imprécations et à jurer : Je ne connais pas cet homme. Aussitôt le coq chanta.
75 Et Pierre se souvint de la parole que Jésus avait dite : Avant que le coq chante, tu me renieras trois fois. Et étant sorti, il pleura amèrement.
1 Dès que le matin fut venu, tous les principaux sacrificateurs et les anciens du peuple tinrent conseil contre Jésus, pour le faire mourir.
2 Après l'avoir lié, ils l'emmenèrent,
3 Alors Judas, qui l'avait livré, voyant qu'il était condamné, se repentit, et rapporta les trente pièces d'argent aux principaux sacrificateurs et aux anciens,
4 En disant : J'ai péché, en livrant le sang innocent. Ils répondirent : Que nous importe ? Cela te regarde.
5 Judas jeta les pièces d'argent dans le temple, se retira, et alla se pendre.
1 Après cela, Jésus se montra encore aux disciples, sur les bords de la mer de Tibériade.
14 C'était déjà la troisième fois que Jésus se montrait à ses disciples depuis qu'il était ressuscité des morts.
15 Après qu'ils eurent mangé, Jésus dit à Simon Pierre : Simon, fils de Jonas, m'aimes-tu plus que ne m'aiment ceux-ci ? Il lui répondit : Oui, Seigneur, tu sais que je t'aime. Jésus lui dit : Pais mes agneaux.
16 Il lui dit une seconde fois : Simon, fils de Jonas, m'aimes-tu ? Pierre lui répondit : Oui, Seigneur, tu sais que je t'aime. Jésus lui dit : Pais mes brebis.
17 Il lui dit pour la troisième fois : Simon, fils de Jonas, m'aimes-tu ? Pierre fut attristé de ce qu'il lui avait dit pour la troisième fois : M'aimes-tu ? Et il lui répondit : Seigneur, tu sais toutes choses, tu sais que je t'aime. Jésus lui dit : Pais mes brebis.
1 Le jour de la Pentecôte, ils étaient tous ensemble dans le même lieu.
14 … Pierre, se présentant avec les onze, éleva la voix, et leur parla en ces termes :
22 Hommes Israélites, écoutez ces paroles ! Jésus de Nazareth, cet homme à qui Dieu a rendu témoignage devant vous par les miracles, les prodiges et les signes qu'il a opérés par lui au milieu de vous, comme vous le savez vous-mêmes ;
36 Que toute la maison d'Israël sache donc avec certitude que Dieu a fait Seigneur et Christ ce Jésus que vous avez crucifié.
41 Ceux qui acceptèrent sa parole furent baptisés ; et, en ce jour-là, le nombre des disciples s'augmenta d'environ trois mille âmes.
42 Ils persévéraient dans l'enseignement des apôtres, dans la communion fraternelle, dans la fraction du pain, et dans les prières.
16 Nous avons connu l'amour, en ce qu'il a donné sa vie pour nous ; nous aussi, nous devons donner notre vie pour les frères.
20 Car si notre cœur nous condamne, Dieu est plus grand que notre cœur, et il connaît toutes choses.
21 Bien-aimés, si notre cœur ne nous condamne pas, nous avons de l'assurance devant Dieu.
14 Car le péché n'aura point de pouvoir sur vous, puisque vous êtes, non sous la loi, mais sous la grâce.
16 Ne savez-vous pas qu'en vous livrant à quelqu'un comme esclaves pour lui obéir, vous êtes esclaves de celui à qui vous obéissez, soit du péché qui conduit à la mort, soit de l'obéissance qui conduit à la justice ?
17 Mais grâces soient rendues à Dieu de ce que, après avoir été esclaves du péché, vous avez obéi de cœur à la règle de doctrine dans laquelle vous avez été instruits.
18 Ayant été affranchis du péché, vous êtes devenus esclaves de la justice. –
23 Car le salaire du péché, c'est la mort ; mais le don gratuit de Dieu, c'est la vie éternelle en Jésus Christ notre Seigneur.
24 Or, à celui qui peut vous préserver de toute chute et vous faire paraître devant sa gloire irrépréhensibles et dans l'allégresse,
25 À Dieu seul, notre Sauveur, par Jésus Christ notre Seigneur, soient gloire, majesté, force et puissance, dès avant tous les temps, et maintenant, et dans tous les siècles ! Amen !
Le moyen d’échapper à la souffrance qu’entraîne le péché est de cesser de pécher. Il n’y en a pas d’autre.
Aucun jugement dernier n’attend les mortels, car le jour du jugement, celui de la sagesse, vient d’heure en heure et continuellement, le jugement par lequel l’homme mortel est dépouillé de toute erreur matérielle. Quant à l’erreur spirituelle il n’y en a pas.
Tout péché vient de la chair. Il ne peut être spirituel. Le péché n’existe ici-bas ou dans l’au-delà que tant que dure l’illusion que l’entendement est dans la matière. C’est un sens de péché, et non une âme pécheresse, qui est perdu. Le mal est détruit par le sens du bien.
La croyance au péché, qui est devenue terriblement forte et influente, est une erreur inconsciente au début, une pensée embryonnaire sans motif ; mais par la suite elle gouverne le soi-disant homme. La passion, les appétits dépravés, la malhonnêteté, l’envie, la haine, la vengeance ne se développent en actes que pour passer de la honte et de la douleur à leur châtiment final.
Le chagrin d’avoir fait le mal n’est qu’un seul pas vers la réforme et c’est le pas le plus facile. Celui qu’il faut faire ensuite, le grand pas qu’exige la sagesse, c’est celui qui met notre sincérité à l’épreuve — savoir, la réforme. A cette fin, il nous faut faire face aux circonstances. La tentation nous engage à renouveler l’offense, et la souffrance qui s’ensuit est la conséquence de ce que nous avons fait. Il en sera toujours ainsi, jusqu’à ce que nous apprenions que la loi de la justice ne fait pas d’es compte et qu’il nous faut payer jusqu’au « dernier quadrant ». « On se servira pour vous de la mesure avec la quelle vous mesurez », et elle sera pleine « et débordante ».
Les saints et les pécheurs reçoivent leur pleine rétribution, mais pas toujours dans ce monde. Les disciples de Christ burent sa coupe. L’ingratitude et la persécution la remplirent jusqu’au bord ; mais Dieu verse les richesses de Son amour dans la compréhension et les affections, nous donnant la force selon les besoins de chaque jour. Les pécheurs sont florissants « comme un arbre verdoyant » ; mais en regardant plus loin, le Psalmiste put voir leur fin : la destruction du péché par la souffrance.
Un apôtre dit que le Fils de Dieu [Christ] est venu pour « détruire les œuvres du diable ». Nous devrions suivre notre divin Exemplaire, et chercher à détruire toutes les œuvres du mal, y compris l’erreur et la maladie. Nous ne pouvons échapper à la peine due au péché. Les Écritures disent que si nous renions le Christ, « lui aussi nous reniera ».
L’Amour divin corrige et gouverne l’homme. Les hommes peuvent pardonner, mais ce Principe divin seul réforme le pécheur. Dieu n’est pas séparé de la sagesse qu’Il confère. Il nous faut faire valoir les talents qu’Il donne. Implorer Son pardon pour avoir mal fait notre travail, ou pour avoir négligé de le faire, implique la vaine supposition que nous n’avons qu’à demander par don, et qu’ensuite nous serons libres de renouveler l’offense.
Causer la souffrance comme conséquence du péché, c’est le moyen de détruire le péché. Tout prétendu plaisir dans le péché entraînera plus que son équivalent de douleur, jusqu’à ce que la croyance à la vie matérielle et au péché soit détruite.
S’il n’était pas puni, le péché se multiplierait. La prière de Jésus : « Pardonne-nous nos offenses », spécifiait aussi les conditions du pardon. Lorsqu’il pardonna à la femme adultère, il lui dit : « Va, et ne pèche plus. »
Un magistrat remet parfois la peine, mais cela peut n’être d’aucun avantage moral pour le criminel, et tout au plus cette rémission lui épargne-t-elle une seule forme de châtiment. La loi morale, qui a le droit d’acquitter ou de condamner, exige toujours des mortels leur rétablissement moral avant qu’ils puissent « monter plus haut ». La transgression de la loi entraîne la peine afin de contraindre au progrès.
Toute angoisse du repentir et de la souffrance, tout effort de réforme, toute bonne pensée et toute bonne action nous aideront à comprendre l’expiation de Jésus pour le péché et contribueront à la rendre efficace ; mais si le pécheur continue à prier et à se repentir, à commettre le péché et à le regretter, il participe peu à la réconciliation — à l’union avec Dieu — car il lui manque la repentance pratique qui réforme le cœur et permet à l’homme de faire la volonté de la sagesse.
Ceux qui ne peuvent démontrer, au moins en partie, le Principe divin des enseignements et des œuvres de notre Maître n’ont aucune part en Dieu. Si nous Lui désobéissons constamment, nous ne devrions pas nous sentir en sécurité, bien que Dieu soit bon.
Qui cessera de commettre le péché tant qu’il croira aux plaisirs du péché ? Dès que les mortels admettent que le mal ne procure aucun plaisir, ils s’en détournent. Effacez l’erreur de la pensée, et l’erreur ne se manifestera pas.
Le pécheur ne peut pas se sentir encouragé par le fait que la Science démontre l’irréalité du mal, car le pécheur ferait une réalité du péché — rendrait réel ce qui est irréel, et amasserait ainsi la « colère pour le jour de la colère ». Il fait partie d’une conspiration dirigée contre lui-même — contre son propre réveil à la terrible irréalité par laquelle il a été trompé. Seuls, ceux qui se repentent du péché et qui abandonnent l’irréel, peuvent comprendre pleinement l’irréalité du mal.
Le prétendu pécheur est son propre meurtrier. Le péché tue le pécheur et continuera de le faire mourir tant qu’il péchera. L’écume et la furie de la vie illégitime et de la mort effrayante et affligeante devraient disparaître sur la rive du temps ; alors les vagues du péché, de la douleur et de la mort se briseraient en vain.
Que l’esclave des mauvais désirs apprenne les leçons de la Science Chrétienne, et il se rendra maître de ces désirs et montera d’un degré sur l’échelle de la santé, du bonheur et de l’existence.
Si les hommes comprenaient que leur vraie source spirituelle est toute félicité, ils s’efforceraient de recourir au spirituel et trouveraient la paix ; mais plus profonde est l’erreur dans laquelle l’entendement mortel est plongé, plus intense est l’opposition à la spiritualité, jusqu’à ce que l’erreur cède à la Vérité.
Lorsque nous abandonnerons le faux concept pour le vrai et que nous verrons que le péché et la mortalité n’ont ni Principe ni permanence, nous apprendrons que le péché et la mortalité n’ont ni origine réelle ni existence légitime.
La destruction du péché constitue la méthode divine du pardon. La Vie divine détruit la mort, la Vérité détruit l’erreur et l’Amour détruit la haine. Étant détruit, le péché n’a besoin d’aucune autre forme de pardon.
████████████████████████████████████████████████████████████████████████
de Mary Baker Eddy
Il sera du devoir de tout membre de cette Église de prier chaque jour : « Que Ton règne vienne » ; que le règne de la Vérité, de la Vie et de l’Amour divins soit établi en moi, et élimine de moi tout péché ; et puisse Ta Parole enrichir les affections de toute l’humanité et la gouverner !q
Manuel de l’Église, Article VIII, Sect. 4
Ni l’animosité, ni un attachement purement personnel ne doivent déterminer les mobiles ou les actes des membres de l’Église Mère. Dans la Science, l’Amour divin seul gouverne l’homme ; et un Scientiste Chrétien reflète les douces aménités de l’Amour, en réprouvant le péché, et en manifestant un véritable esprit de fraternité, de charité et de pardon. Les membres de cette Église doivent journellement veiller et prier pour être délivrés de tout mal, pour ne pas prophétiser, juger, condamner, conseiller, influencer ou être influencés d’une manière erronée.
Manuel de l’Église, Article VIII, Sect. 1
Il sera du devoir de chaque membre de cette Église de se défendre journellement contre la suggestion mentale agressive, et de ne pas se laisser entraîner à oublier ou à négliger son devoir envers Dieu, envers son Leader et envers l’humanité. Par ses œuvres, il sera jugé — et justifié ou condamné.
Manuel de l’Église, Article VIII, Sect. 6
████████████████████████████████████████████████████████████████████████