dimanche 7 Octobre 2018 |

Dimanche 7 Octobre 2018



Sujet — L'IRRÉALITÉ

Texte D’or : ÉSAÏE 41 : 13



« Je suis l'Éternel, ton Dieu, qui fortifie ta droite, qui te dis : Ne crains rien, je viens à ton secours. »




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Lecture Alternée: Psaume 118 : 1, 5, 6, 8, 10, 14


1.     Louez l'Éternel, car il est bon, car sa miséricorde dure à toujours !

5.     Du sein de la détresse j'ai invoqué l'Éternel : l'Éternel m'a exaucé, m'a mis au large.

6.     L'Éternel est pour moi, je ne crains rien : que peuvent me faire des hommes ?

8.     Mieux vaut chercher un refuge en l'Éternel que de se confier à l'homme.

10.     Toutes les nations m'environnaient : au nom de l'Éternel, je les taille en pièces.

14.     L'Éternel est ma force et le sujet de mes louanges ; c'est lui qui m'a sauvé.



La Leçon Sermon



La Bible


1. Apocalypse 19 : 6 (Alléluia)

6     … Alléluia ! Car le Seigneur notre Dieu tout puissant est entré dans son règne.

2. Psaume 73 : 1, 2 (Toutefois seulement), 3 (je portais), 9, 16, 17, 24-26

1     Oui, Dieu est bon pour Israël, pour ceux qui ont le cœur pur.

2     Toutefois,

3     … je portais envie aux insensés, en voyant le bonheur des méchants.

9     Ils élèvent leur bouche jusqu'aux cieux, et leur langue se promène sur la terre.

16     Quand j'ai réfléchi là-dessus pour m'éclairer, la difficulté fut grande à mes yeux,

17     Jusqu'à ce que j'eusse pénétré dans les sanctuaires de Dieu, et que j'eusse pris garde au sort final des méchants.

24     Tu me conduiras par ton conseil, puis tu me recevras dans la gloire.

25     Quel autre ai-je au ciel que toi ! Et sur la terre je ne prends plaisir qu'en toi.

26     Ma chair et mon cœur peuvent se consumer : Dieu sera toujours le rocher de mon cœur et mon partage.

3. Juges 6 : 2 (jusqu’au 1er.), 6, 11, 12, 14, 22

2     La main de Madian fut puissante contre Israël.

6     Israël fut très malheureux à cause de Madian, et les enfants d'Israël crièrent à l'Éternel.

11     Puis vint l'ange de l'Éternel, et il s'assit sous le térébinthe d'Ophra, qui appartenait à Joas, de la famille d'Abiézer. Gédéon, son fils, battait du froment au pressoir, pour le mettre à l'abri de Madian.

12     L'ange de l'Éternel lui apparut, et lui dit : L'Éternel est avec toi, vaillant héros !

14     L'Éternel se tourna vers lui, et dit : Va avec cette force que tu as, et délivre Israël de la main de Madian ; n'est-ce pas moi qui t'envoie ?

22     Gédéon, voyant que c'était l'ange de l'Éternel, dit : Malheur à moi, Seigneur Éternel ! car j'ai vu l'ange de l'Éternel face à face.

4. Juges 7 : 2-4 (jusqu’au 1er ;), 5 (jusqu’à la 1ère,), 6, 7, 19 (Gédéon et seulement), 22 (jusqu’au 1er.)

2     L'Éternel dit à Gédéon : Le peuple que tu as avec toi est trop nombreux pour que je livre Madian entre ses mains ; il pourrait en tirer gloire contre moi, et dire : C'est ma main qui m'a délivré.

3     Publie donc ceci aux oreilles du peuple : Que celui qui est craintif et qui a peur s'en retourne et s'éloigne de la montagne de Galaad. Vingt-deux mille hommes parmi le peuple s'en retournèrent, et il en resta dix mille.

4     L'Éternel dit à Gédéon : Le peuple est encore trop nombreux. Fais-les descendre vers l'eau, et là je t'en ferai le triage ;

5     Gédéon fit descendre le peuple vers l'eau,

6     Ceux qui lapèrent l'eau en la portant à la bouche avec leur main furent au nombre de trois cents hommes, et tout le reste du peuple se mit à genoux pour boire.

7     Et l'Éternel dit à Gédéon : C'est par les trois cents hommes qui ont lapé, que je vous sauverai et que je livrerai Madian entre tes mains. Que tout le reste du peuple s'en aille chacun chez soi.

19     Gédéon et …

22     Les trois cents hommes sonnèrent encore de la trompette ; et, dans tout le camp, l'Éternel leur fit tourner l'épée les uns contre les autres.

5. Juges 8 : 10 (cent vingt mille), 22, 23

10     … cent vingt mille hommes tirant l'épée avaient été tués.

22     Les hommes d'Israël dirent à Gédéon : Domine sur nous, et toi, et ton fils, et le fils de ton fils, car tu nous as délivrés de la main de Madian.

23     Gédéon leur dit : Je ne dominerai point sur vous, et mes fils ne domineront point sur vous ; c'est l'Éternel qui dominera sur vous.

6. Ésaïe 41 : 10, 11, 29

10     Ne crains rien, car je suis avec toi ; ne promène pas des regards inquiets, car je suis ton Dieu ; je te fortifie, je viens à ton secours, je te soutiens de ma droite triomphante.

11     Voici, ils seront confondus, ils seront couverts de honte, tous ceux qui sont irrités contre toi ; ils seront réduits à rien, ils périront, ceux qui disputent contre toi.

29     Voici, ils ne sont tous que vanité, leurs œuvres ne sont que néant, leurs idoles ne sont qu'un vain souffle.

7. Luc 8 : 40-42 (jusqu’au 1er.), 49-56 (jusqu’à la ,)

40     A son retour, Jésus fut reçu par la foule, car tous l'attendaient.

41     Et voici, il vint un homme, nommé Jaïrus, qui était chef de la synagogue. Il se jeta à ses pieds, et le supplia d'entrer dans sa maison,

42     Parce qu'il avait une fille unique d'environ douze ans qui se mourait.

49     Comme il parlait encore, survint de chez le chef de la synagogue quelqu'un disant : Ta fille est morte ; n'importune pas le maître.

50     Mais Jésus, ayant entendu cela, dit au chef de la synagogue : Ne crains pas, crois seulement, et elle sera sauvée.

51     Lorsqu'il fut arrivé à la maison, il ne permit à personne d'entrer avec lui, si ce n'est à Pierre, à Jean et à Jacques, et au père et à la mère de l'enfant.

52     Tous pleuraient et se lamentaient sur elle. Alors Jésus dit : Ne pleurez pas ; elle n'est pas morte, mais elle dort.

53     Et ils se moquaient de lui, sachant qu'elle était morte.

54     Mais il la saisit par la main, et dit d'une voix forte : Enfant, lève-toi.

55     Et son esprit revint en elle, et à l'instant elle se leva ; et Jésus ordonna qu'on lui donnât à manger.

56     Les parents de la jeune fille furent dans l'étonnement.

8. I Pierre 3 : 12-16

12     Car les yeux du Seigneur sont sur les justes et ses oreilles sont attentives à leur prière, mais la face du Seigneur est contre ceux qui font le mal.

13     Et qui vous maltraitera, si vous êtes zélés pour le bien ?

14     D'ailleurs, quand vous souffririez pour la justice, vous seriez heureux. N'ayez d'eux aucune crainte, et ne soyez pas troublés ;

15     Mais sanctifiez dans vos cœurs Christ le Seigneur, étant toujours prêts à vous défendre, avec douceur et respect, devant quiconque vous demande raison de l'espérance qui est en vous,

16     Et ayant une bonne conscience, afin que, là même où ils vous calomnient comme si vous étiez des malfaiteurs, ceux qui décrient votre bonne conduite en Christ soient couverts de confusion.

9. Hébreux 13 : 6

6     C'est donc avec assurance que nous pouvons dire : Le Seigneur est mon aide, je ne craindrai rien ; que peut me faire un homme ?



Science et Santé


1. 102 : 2-3, 16-17

… Dieu gouverne tout ce qui est réel, harmonieux et éternel, et Son pouvoir n’est ni animal ni humain.

… l’homme, reflétant le pouvoir de Dieu, a la domination sur toute la terre et tout ce qu’elle comprend.

2. 454 : 6-15

La compréhension, si faible qu’elle soit, de la Toute-puissance divine, détruit la crainte et affermit les pas dans la bonne voie — la voie qui mène à la demeure qui n’est pas faite de main d’homme et qui est « éternelle dans les cieux »*. La haine humaine n’a ni mandat légitime ni royaume. L’Amour est intronisé. La doctrine de la Science Chrétienne absolue est que le mal, ou la matière, n’a ni intelligence ni pouvoir, et c’est là la grande vérité qui arrache tout déguisement à l’erreur.

* Bible anglaise

3. 378 : 13-18 (jusqu’au ;)

En regardant sans crainte un tigre dans les yeux, sir Charles Napier le renvoya tout tremblant dans la jungle. Un animal peut en exaspérer un autre en le regardant dans les yeux, et ils se battront sans raison. Le regard d’un homme, fixé sans crainte sur une bête féroce, force souvent celle-ci à reculer épouvantée. Ce dernier exemple illustre le pouvoir de la Vérité sur l’erreur — la puissance de l’intelligence exercée sur les croyances mortelles pour les détruire.

4. 380 : 31-5

Rien n’est plus décourageant que de croire qu’il existe un pouvoir opposé à Dieu, le bien, et que Dieu confère à ce pouvoir antagoniste une force qui doit être employée contre Lui-même, contre la Vie, la santé et l’harmonie.

Toute loi de la matière ou du corps, qui est censée gouverner l’homme, est rendue nulle et non avenue par la loi de la Vie, Dieu. Ignorant les droits que Dieu nous a donnés, nous nous soumettons à des décrets injustes, et l’influence de l’éducation nous impose cette servitude.

5. 180 : 19-26

Les médecins ne devraient pas implanter l’idée de la maladie dans la pensée de leurs patients, ainsi qu’ils le font si fréquemment en déclarant que la maladie est un fait établi, avant même de travailler à l’extirper par la foi matérielle qu’ils inspirent. Au lieu de nourrir la pensée de crainte, ils devraient chercher à corriger cet élément désordonné de l’entendement mortel par l’influence de l’Amour divin qui bannit la crainte.

6. 196 : 28-32

Plus d’un cas désespéré de maladie a pour origine une simple autopsie — non l’infection ni le contact d’un virus matériel, mais la crainte de la maladie et l’image présentée à l’entendement ; c’est un état mental qui se dessine ensuite sur le corps.

7. 197 : 6-18

Une maladie décrite en détail coûte à plus d’un homme le bien-être de son existence terrestre. C’est payer bien cher le savoir humain ! Mais le prix n’excède pas le coût primitif. Dieu dit de l’arbre de la connaissance qui porte le fruit du péché, de la maladie et de la mort : « Le jour où tu en mangeras, tu mourras. »

Moins on parlera de la structure physique et des lois physiques, et plus on pensera à la loi morale et spirituelle et on en parlera, plus la norme de l’existence s’élèvera et plus la faiblesse d’esprit ou la maladie s’éloigneront des mortels.

Nous devrions maîtriser la crainte au lieu de la cultiver.

8. 371 : 6-22

Les dissertations sur la maladie ont un effet mental semblable à celui que produisent sur les enfants les histoires de revenants racontées dans l’obscurité. Ceux qui ne sont pas instruits en Science Chrétienne ne comprennent en réalité rien à l’existence matérielle. On croit que les mortels sont sur cette terre sans leur consentement et qu’ils en sont enlevés tout aussi involontairement, sans savoir pourquoi ni quand. De même que les enfants effrayés cherchent partout le fantôme imaginaire, ainsi l’humanité malade voit le danger de tous côtés et recherche le soulagement de toutes les façons, sauf la bonne. Les ténèbres causent la peur. Esclave de ses croyances, l’adulte, pas plus qu’un enfant, ne comprend son être réel ; et il faut faire sortir l’adulte de ses ténèbres avant qu’il puisse se débarrasser des souffrances illusoires qui envahissent le crépuscule. Le chemin de la Science divine est le seul chemin pour sortir de cet état.

9. 288 : 33-8 (jusqu’au 1er.)

La Vérité éternelle détruit ce que les mortels semblent avoir appris de l’erreur, et l’existence réelle de l’homme en tant qu’enfant de Dieu est mise en lumière. La Vérité démontrée est la vie éternelle. L’homme mortel ne pourra jamais s’élever au-dessus des débris temporels de l’erreur, de la croyance au péché, à la maladie et à la mort, avant d’apprendre que Dieu est la seule Vie. La croyance que la vie et la sensation sont dans le corps devrait être vaincue par la compréhension de ce qui constitue l’homme en tant qu’image de Dieu.

10. 130 : 29-7

Si la pensée s’effraie de ce que la Science proclame si énergiquement la suprématie de Dieu, ou la Vérité, et met en doute la suprématie du bien, ne devrions-nous pas, au contraire, être étonnés des prétentions énergiques du mal et les mettre en doute, et ne plus croire naturel d’aimer le péché et antinaturel d’y renoncer, ne plus nous imaginer que le mal est toujours présent et le bien absent ? La vérité ne devrait pas sembler aussi surprenante et antinaturelle que l’erreur, et l’erreur ne devrait pas sembler aussi réelle que la vérité. La maladie ne devrait pas sembler aussi réelle que la santé. Il n’y a pas d’erreur dans la Science, et notre vie doit être gouvernée par la réalité afin d’être en harmonie avec Dieu, le Principe divin de tout être.

Une fois détruite par la Science divine, la fausse manifestation apparente aux sens corporels disparaît.

11. 411 : 29-5

Commencez toujours votre traitement en calmant la crainte de vos patients. Donnez-leur silencieusement l’assurance qu’ils sont exempts de maladie et de danger. Observez le résultat de cette simple règle de la Science Chrétienne, et vous constaterez qu’elle atténue les symptômes de toute maladie. Si vous réussissez à chasser entièrement la crainte, votre patient est guéri. Le fait fondamental que Dieu gouverne tout avec amour, ne punissant jamais que le péché, est la position d’où vous devez partir pour avancer et pour détruire la crainte humaine de la maladie.

12. 406 : 19-24 (jusqu’au Dieu)

Résistez au mal — à l’erreur de toute nature — et il fuira loin de vous. L’erreur est opposée à la Vie. Nous pouvons nous élever et nous nous élèverons finalement jusqu’à nous prévaloir en tous points de la suprématie de la Vérité sur l’erreur, de la Vie sur la mort et du bien sur le mal, et cette croissance continuera jusqu’à ce que nous parvenions à la plénitude de l’idée de Dieu.


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Les Devoirs Quotidiens

de Mary Baker Eddy

Prière quotidienne

Il sera du devoir de tout membre de cette Église de prier chaque jour : « Que Ton règne vienne » ; que le règne de la Vérité, de la Vie et de l’Amour divins soit établi en moi, et élimine de moi tout péché ; et puisse Ta Parole enrichir les affections de toute l’humanité et la gouverner !q

Manuel de l’Église, Article VIII, Sect. 4

Règle pour les mobiles et les actes

Ni l’animosité, ni un attachement purement personnel ne doivent déterminer les mobiles ou les actes des membres de l’Église Mère. Dans la Science, l’Amour divin seul gouverne l’homme ; et un Scientiste Chrétien reflète les douces aménités de l’Amour, en réprouvant le péché, et en manifestant un véritable esprit de fraternité, de charité et de pardon. Les membres de cette Église doivent journellement veiller et prier pour être délivrés de tout mal, pour ne pas prophétiser, juger, condamner, conseiller, influencer ou être influencés d’une manière erronée.

Manuel de l’Église, Article VIII, Sect. 1

Vigilance face au devoir

Il sera du devoir de chaque membre de cette Église de se défendre journellement contre la suggestion mentale agressive, et de ne pas se laisser entraîner à oublier ou à négliger son devoir envers Dieu, envers son Leader et envers l’humanité. Par ses œuvres, il sera jugé — et justifié ou condamné.

Manuel de l’Église, Article VIII, Sect. 6


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